-Nom : Loughlin.
-Prénom: Rynn.
-Age: 17 ans.
-Race: Humaines.
-Camp: Neutre.
-Histoire :
Rynn est née en Angleterre, jeune fille intelligente et distinguée, elle est le fruit d'une mère journaliste, et d'un père poète ainsi que traducteur. Une existance banale sous le signe de la richesse. La violence ne fait pas partie d'une existance banale, mais dans la famille Loughlin, elle y règne, contrôlait par une seule personne : Elisabeth, la mère de Rynn. Bien sur le père, souvent absent, ne savait rien de ses mauvais traitements. Rynn eut onze ans, enfin, le père compris, fou de rage, il divorcat et partis en Amérique. Elle ne retournat pas à l'école, le père de Rynn était contre la socièté, et donc, contre l'école, elle apprenait tout à l'aide son père, de ses livres... A treize ans, elle parlait couremment Américain, Anglais, Espagnol et Italien. Son père était stricte mais généreux...
Jusqu'au jour où le père de Rynn fut atteint d'une grave maladie. Il allait mourir, et il ne lui restait que quelques mois à peine. Il emménagèrent à Long Island, dans un petit maison, au bout d'une chemin, leur voisiin le plus proche habitait à huit cent mètre. Leur demeurre était devenut un havre de paix. Le père vidat entièrement son compte en banque pour tout verser sur celui de sa fille, il fallait qu'elle vive seule et par ses propres moyens, sans aller à l'école, la socièté était trop immonde pour en faire partit. Les semaines passèrent, un matin son père partit... Plus jamais il ne revint... Rynn avait 12ans.
[ C'était le résumée ... Maintenant l'histoire ]
C'était une de ces soirée comme les aimait la petite fille.
En cette dernière nuit d'octobre, elle était à sa fenêtre et contemplait le monde frissonnant à l'orée de l'hiver. Un vent piquant agitait les tiges de feuilles mortes dans le jardin, et dépouillait des arbres de leur dernière feuilles jaunies pour les envoyer voler dans le noir comme des bouts de papier. Soudain, la petite fille tirat les rideaux et cacha la nuit.
Pieds nus, elle courut vers la cheminée de pierre et, avec un tisonnier de fer, secoua les braises jusqu'à ce que les flammes jaillissent. Elle tendit les mains vers la chaleur et la se diffuser dans le salon et la cuisine de ce qui avait été, cent ans plus tôt encore, une simple ferme.
Quelques pas encore, elle contournat une table basse, et s'approchat des cadrans luisant d'une chaîne stéréo. Elle tourna le bouton du son et la musique s'enflat, déversée par les hauts parleurs nichés dans l'ombre des poutres. Le concerto pour piano n°1 de Liszt s'enflat et frémit dans tout les recoins, au point que la petite maison elle même devint l'orchestre. Rynn portat le volume au maximum.
Aucun voisin n'allait téléphoner, ni tambourine rà la porte pour se plaindre du bruit, le plus proche vivait à plus de hit cent mètres. L'enfant resta un moment immobile, elle attendit, le moment qu'elle attendait depuis ce matin. Tout la journée, apart un détour au village, elle avait cirée les meubles en bois, et nettoyé, même le tapis, qui avait plus de cent ans, avait presques retrouvé ses couleurs d'origine depuis que la petite fille l'avait traînée et secoué dehors.
La petit fille se dirigeat vers la cuisine, et au comtoir de la cuisine, elle ouvrit délicatemment un carton pâtissier, puis elle soulevat avec précaution un petit gâteau nappé de sucre glace jaune pâle. Le sucre neigeux lui poissat les doigts, mais elle ne le léchat pas, elle l'essuiyat avec un petit bout de papier. Sur la surface brillante et satinée, elle disposat treize petite bougie verte, qu'elle allumat à l'aide d'une allumette.
Des coups retentirent. Qui osé troubler ainsi l'anniversaire de la petite fille ? Rynn courrut jusqu'au qu'au salon éteindre la chaîne stéréo. Puis elle courrut jusqu'à la porte d'entrée, avec un accent anglais, elle demandat qui était là. Personne ne répondit, mais les coups continuaient. La petite fille cédat et ouvrit la porte, des ongles rouges jaillirent du noir, puis le visage rougit par le froid de sa mère apparut. Elle rentrat, laissant des trace boueuse sur le parquets récemment ciré ce qui mit la petit fille hors d'elle. Pour maîtriser sa rage, elle fit preuve d'une froideur typiquement anglaise, sa même saluait cette mère indigne qui l'avait pourtant élevée... Elisabeth s'assit sur le fauteuil à bascule et demandat une tasse de thé vert. Elle passsat sur ses lèvres trop rose une pommade en tube. Comme d ela bave d'escargot pensat la petite fille en entrat dans la cuisine.
Quelques années auparavant, avait vécut dans cette maison, un grand photographe français, malheureusement, il avait oublié un tube de Cyanure que Rynn avait précieusement gardé. Pendant qu'elle préparé le thé à sa marâtre son regard se posat sur ce petit tube, dessus était marqué : Poison. La petite fille haussat les sourcils, ici, le meurtre était punie par la mort, mais après tout, elle n'avait plus rien à perdre, elle pris le cyanure puis versat quelques gouttes et le donnat à sa mère... Il fallut quelques minutes à peine avant que sa mère ne plonge dans un sommeil immotel.
Rynn reprit une existance normale . Toute personne s'intoduisant dans sa vie mourrait empoisonnée, les cadavre était cachés. Les habitants comprirent que Rynn était une tueuse, mais ils n'avait aucunes preuves. Certains faisait appel à elle pour se débarasser des gens enccombrant, d'autre l'évitait. Mais grâce à son intelligence hors-norme et son peu d'humanité tout celà ne lui faisait rien, jusqu'au jour ou tout changeat.
Un homme avait demander ses services. Rynn avait acceptée sans hésiter. La personne à éliminée habitait dans une grande maison remplie de domestiques ce qui rendait la tâche plus difficile...
Il était près de minuit, en cette dernière soirée d'octobre, Rynn aurait du fêter ses 19 ans, au lieu de ça, elle s'introduisait en douce dans une maison blanche. Face à elle un escaliers de marbre elle les montat doucement. Quand elle arrivat en haut, tout était éteint, l'homme dormait dans la deuxième chambre à gauche, Rynn entrat.La jeune fille sortis un poignard, l'homme qui ronflait était une proie facile, pour l'instant, aucuns obstacle, elle s'avançat doucement, et enfonçat son poignards à sept reprises. Malheureusement pour elle, l'homme poussat un cri...
Rynn panniquée sortit à toute vitesse de la chambre manquant de trébucher et se retrouvat face à un domestique, en bas de l'escalier, une jeune femme appelait la police. Rynn frappat violemment l'homme au visage et descendit les escaliers avant de sortir par la porte. Loin, elle enttendait les sirènes de police. La jeune fille courrut à toute vitesse le plus loin possible, elle passat par le petit bois de Long Island. Puis elle se retrouvat devant un arrêt de bus, perdut. Le prochain bus arrivait dans quelques minutes, elle décidat de l'attendre...
-Pouvoirs :
-Arme(s) : 1 flacon de poison, 2 poignards.
-Qualités :
Rynn est quelqu'un d'intelligent, elle est déterminée et réfléchie. Sa tête est une véritable minuterie, tout fonctionne avec précision, les choses sont précise et clair, elle est ponctuelle, elle aime les choses en ordres
-Défauts :
Elle est dépourvut d'humanité, de sentiment... Elle fait avant tout passer son travail. C'est quelqu'un d'égoïste, mais pas foncièrement mauvaise.
Elle est un peu trop circonpte et un peu maniaque sur l'ordre et la ponctualité.
-Caractère :
Rynn est une tueuse à gage. Elle est dépourvut d'humanité, de sentiment... Elle fait avant tout passer son travail. C'est à vrai dir ela seule chose qu'elle possède et qu'elle aime. Mais celà ne l'empêche pas d'être sensible, elle est remplies de regrets, de remords, tout ses meurtres pèsent sur sa conscience. Mais a t-elle d'autres choix ? Elle doti avant tout ce défendre contre ce monde abjects. Elle tue avant tout par principes, si les autres font appel à elle, tant mieux...
Elle est dotée d'une grande intelligence, déterminé, réfléchit. Sa tête est une véritable minuterie, tout fonctionne avec précision, les choses sont précise et clair, elle est ponctuelle, elle aime les choses en ordres ce qui la rends parfois maniaque.
Rynn ne cherche pas à se faire aimer, ni à s'aimer. Elle est égoïste, chacun pour soi ? Elle s'y fie totalement, elle est circonspecte. Elle ne croit en rien apart en elle, elle n'a ni foi ni loi, aucun objectifs ou presque. L'amour ? Elle n'en comprends pas le sens. L'amitier ? Pareil, elle n'a jamais eut d'amis, car pour elle cela n'existe, toutnle monde nous trahit un jour...
-Description physique :
Rynn est blonde ses cheveux lui arrivent un peu plus bas que le milieu du dos, ses yeux de couleur gris foncé n'exprime qu'une chose : La tristesse. Son visage pâle mais bien proportionné, bien qu'elle trouve ses yeux trop petits. Elle est assez grande, elle approche les 1m 75 .Rynn est mince mais pas squelettique pour autant. Ses mains sont pâles, ses ongles courts et bien taillés, jamais elle ne les vernis. Elle musclé, mais dans des proportions corrects. Sa taille est fine et élégente et comme toutes les anglaise, elle est pouvue d'une grâce exeptionnelle bien qu'elle n'en fasse que très peu usage trouvant cela trop futile. Elle à une tatouage sur l'épaule gauche, un petit papillon.
Pour ce qui est des vêtements, elle ne se fatigue pas, elle porte la plupart du temps un chemisier blanc et un bleue jean assortie avec des basket blanches.